Téléphonie mobile  : le site de Lachamp ouvert !

Patrice Saint-Léger, conseiller général du canton de Saint-Amans et Président de la Commission des Technologies numériques s'est rendu, la semaine dernière, sur la commune de Lachamp, à l'occasion de la mise en service du pylône de téléphonie mobile.

La couverture de la Lozère en téléphonie mobile se poursuit. Le pylône de Lachamp qui vient d'être mis en service permet désormais aux habitants de ce secteur des cantons de Saint Amans mais aussi de Marvejols de bénéficier de ce nouveau service.

Autour de Patrice Saint-Léger,  conseiller général du canton de Saint-Amans, Philippe Fleury de la Ruelle, maire de Lachamp et Michel Brun, maire de Recoules de Fumas, accompagnés de Patrick Boyer, Directeur du service TIC et Prospective ont pu se rendre compte du bon fonctionnement de l'équipement.

Pour Patrice Saint-Léger,  également Président de la Commission des Technologies numériques, « Cette ouverture est une très bonne chose pour le territoire et nos concitoyens. Ce service est aujourd'hui indispensable pour la sécurité mais aussi le développement économique et touristique de notre département. Le Conseil départemental a pris ce dossier à bras le corps et je me félicite de l'avancée de la couverture en téléphonie mobile sur toute la Lozère »

Deux autres pylônes supplémentaires sur le département viennent d'être mis en service sous maîtrise d'ouvrage du Conseil départemental de la Lozère. Il s'agit de ceux du Malzieu/ St Léger du Malzieu et Saint Pierre Le Vieux.

La "troisième phase" du plan de résorption des zones blanches de téléphonie mobile se finalise et a pour objectif de couvrir les derniers bourgs centres lozèriens dans lesquels aucun des trois opérateurs n’était présent à ce jour.

Bien conscient que la couverture en téléphonie mobile est un enjeu majeur pour l'attractivité et le développement économique du département, le Conseil départemental de la Lozère y a déjà consacré près de 3,5M€. Le coût de cette troisième tranche est lui estimé à plus d'1,2 M€  co-financés par le Conseil départemental, l'État et la Région.