Escalade dans les Gorges du Tarn : les partenaires donnent leur feu vert.

Le 17 juin dernier, le Conseil départemental de la Lozère réunissait l'État, la commune de Saint Georges de Lévejac, les propriétaires privés et la FFCAM (Fédération Française des Clubs Alpins et de Montagne) pour  le  renouvellement  des  conventions liées à l'exploitation du Cirque des Baumes, spot d'escalade de renommée internationale.

La commune de Saint Georges de Lévejac, en partenariat avec le Conseil départemental de la Lozère et l'Etat (service de la DDCSPP), a instauré depuis 2008 une démarche de concertation, basée sur des partenariats innovants, afin d’améliorer la sécurité des pratiquants, l’accueil du public mais aussi la préservation de l’environnement. Une visite sur site a également permis à chacun des partenaires de présenter les aménagements réalisés depuis 3 ans.

L’escalade  est  une  activité  phare  de  la  dynamique  du  cirque  des Baumes.
Ce  site  d’escalade  comprend près de 750 voies qui ont été aménagées en plusieurs temps par le club CAF Causse et Cévennes de Millau à partir des années 1980.  Depuis 2008, un certain nombre d’actions ont été mises en œuvre afin d’améliorer la gestion du site d’escalade du cirque des Baumes.

La majorité des problématiques liées à la sécurisation de la pratique de l’escalade sont maintenant gérées. Toutefois, il reste maintenant a apporter des solutions aux principales préoccupations des propriétaires privés qui concernent la gestion des parkings, la lutte contre l’insalubrité, le camping et les feux sauvages.

Le Conseil départemental de la Lozère réalise actuellement une étude paysagère qui permettra, en tenant compte de la réglementation en vigueur sur ce site, de définir l’implantation des zones de stationnements, des sanitaires et des deux grandes aires d’accueil des Baumes Hautes et des Baumes Basses.

290 000 € ont été consacrés au site depuis 2011 Le Conseil départemental a notamment mobilisé 77 000 € pour le rééquipement et les aménagements, 6 000 € pour fonctionnement du site et 20 000 € pour l’étude paysagère qui est en cours.

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