“Nos terres inconnues” : Frédéric Lopez propose la Lozère pour se reconnecter

Frédéric Lopez a choisi la Lozère pour le premier opus de sa nouvelle émission « Nos Terres inconnues ». En novembre dernier, accompagné de l’humoriste Malik Bentalha il a passé une semaine en terres cévenoles afin de venir à la rencontre de cévenols, habitants passionés et passionnants, tous amoureux de leur territoire et de leur qualité de vie.

Pourquoi faire des milliers de kilomètres quand notre propre pays ne nous a pas encore révélé tous ses secrets ? Le concept de la nouvelle émission de Frédéric Lopez a semble-t'il fait mouche en allant poser ses caméras au coeur du Parc national des Cévennes, seul parc national habité de France. L'émission a été diffusée en prime-time sur France 2 ce mardi 11 avril. Elle a été suivie d'un débrief tout aussi émouvant en présence des principaux protagonistes du documentaire et de Sophie Pantel la présidente du Département. 
 

• Gaëtan et Marion Lamorinière, éleveurs équins à la Ferme de la Fichade sur le Causse Méjean
• Christian Clermon et Sabine Declos et leurs enfants d'Esperelles Basses. Producteurs bio de châtaigne sur la Commune de St Frézan de Ventalon
• Emmanuelle Roux et Bertrand de Ste Colombe, épiciers à St Frézal de Ventalon, qui ont cessé leur activité depuis le tournage
• Emeric Sulmont et Jean-Pierre Malafosse, gardes moniteur au PNC, secteur Mont Lozère
• Sylvain Tirfort, prestataire de canyoning à Générargue
   

Pour l’animateur, la Lozère est apparue comme une évidence afin de trouver des personnes profondément attachées à leur territoire et aux savoir-faire d’exception. La « Famille Châtaigne » lui a  ouvert les portes de son mas où ils produisent la châtaigne et la transforme en farine, crème de marrons… Ils ont fait découvrir à l’équipe les différentes activités de la famille et ont ouvert leur cœur aux visiteurs. Avec humour et empathie, Malik et Frédéric se sont essayés au canyoning, à l'équitation, ils ont aussi rencontré les gardes du PNC et dormi dans le Chalet de l'Aigle sur le Mont-Lozère (Pic Cassini).

Pour le Conseil Départemental, il est important d’accompagner et de soutenir ce genre de projets qui participent au rayonnement du département et s’inscrivent parfaitement dans sa démarche de promotion du territoire. Pour preuve, le soir de la diffusion du documentaire, le site www.lozerenouvellevie.com a enregistré un pic de fréquentation sans précédent avec près de 5 000 connexions dans les premières heures qui ont suivi la diffusion du programme quand au site de Lozère Tourisme, il a enregistré une hausse de +235% avec plus de 10 000 connexions.

• Pour ceux qui souhaitent découvrir la Lozère et ses beautés : www.lozere-tourisme.com
• Pour ceux qui souhaitent s'installer en Lozère : www.lozerenouvellevie.com
• Pour ceux qui souhaitent nous rencontrer : rendez-vous du 13 au 15 avril sur la manifestation "La Lozère en lettres Capitole" à Toulouse
   

Il faut savoir que grâce à ses paysages préservés et à perte de vue, la Lozère est devenue une terre d’accueil pour les films, documentaires ou autres reportages. De très nombreux films y sont tournés chaque année : Lozère, terre de tournages

Côté audiences :

Nos terres inconnues sur France 2 ; a pris les devants mardi soir avec l’émission . Frédéric Lopez et Malik Bentalha partis dans les Cévennes ont attiré 4, 3% de téléspectateurs, soit 18,2% du public. Cela représente tout de même 4,351 M€ de télespectateurs !

TF1 a décroché la deuxième place avec la série « L’Arme fatale». Le premier épisode a mobilisé 4,2 millions de téléspectateurs soit 17% du public. Le deuxième épisode a réuni quant à lui 3,7 millions de personnes soit 16,6% de part d’audience. Le téléfilm «Tensions sur le Cap Corse » monte sur la troisième place avec 3,3% de personnes et 13,6% de part d’audience. Dans la suite des téléfilms de la chaîne, «Un parfum de sang » réunit 1,5 millions de téléspectateurs, soit 10,5% du public. M6 a fermé la marche avec son magazine « Maison à vendre» où Stéphane Plaza a attiré 2,2 millions de personnes (9,6 % de PDA). (*Source : Le Parisien)